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Alcool, drogue, tabac et impuissance

Alcool, drogue, tabac et impuissance

L’abus de substances addictives telles que le tabac, l’alcool, ou les drogues peut diminuer les capacités sexuelles. Une consommation excessive peut être la cause d’un trouble de l’érection ponctuel, mais entraîner une dysfonction érectile réelle à plus long terme.

Si ces pratiques sont courantes, voire recherchées, pour le plaisir ou la levée des inhibitions qu’elles procurent, elles n’en demeurent pas moins néfastes pour la bonne santé sexuelle. Ainsi, passé les premières impressions de lever du stress, l’alcool et les drogues, ont une action cérébrale néfaste sur la commande de l’érection.

Un certain nombre d’hommes présentant une dysfonction érectile sont ou on été fumeurs. Le tabac aggrave l’hypertension et l’artériosclérose et favorise la fuite veineuse (incapacité des veines du pénis à retenir le sang). L’alcool est responsable de baisse de testostérone, hormone qui est à l’origine du désir sexuel et favorise l’érection. Très régulièrement,  chez un grand fumeur ou un homme dépendant aux drogues, la dysfonction érectile est le tout premier signe d’une maladie vasculaire qui va aller en s’aggravant. Arrêter de fumer, réduire sa consommation d’alcool et ne pas prendre de drogues sont des actes de prévention particulièrement efficaces.

Le tabac

Le tabagisme perturbe les mécanismes vasculaires de l’érection. En bloquant progressivement les petites artères, le tabac nuit au flux sanguin nécessaire à l’érection. Fumer peut également entraîner des fuites de sang dans les veines du pénis lors de l’érection. L’excitation sexuelle physique comprend un afflux sanguin vers la zone génitale, ce qui signifie que le sang circule plus rapidement vers les organes qu’il n’en ressort. Or tout ce qui modifie la capacité du système cardiovasculaire à faire circuler le sang vers les parties génitales peut ralentir ou réduire l’intensité de cette réaction. La cigarette entrave la circulation du sang oxygéné du système circulatoire partout dans l’organisme. Par exemple, plusieurs études ont révélé que le tabagisme dans les 24 heures précédant une activité sexuelle peut réduire la puissance de l’érection et mais également celle des érections nocturnes.

L’alcool

Un ou deux verres d’alcool peuvent permettre de se détendre et de lever les inhibitions, prédisposant ainsi aux rapports amoureux. L’idée selon laquelle la consommation d’alcool rend « sexy » et met dans « l’ambiance » est tellement répandue que certaines personnes croient vraiment qu’en s’enivrant, elles apprécieront davantage leur relation sexuelle. Cependant une trop grande consommation d’alcool peut, en endormant le système nerveux et les réflexes engendrer un trouble de l’érection. L’alcool a un effet dépresseur sur le système nerveux. Ce qui signifie qu’il ralentit le fonctionnement du cerveau, la respiration et la circulation.

Les stupéfiants

Il apparaît que l’usage du cannabis pourrait affecter les fonctions sexuelles en baissant la capacité érectile. Selon une recherche récente, menée sur soixante-quatre hommes, les usagers de cannabis présenteraient des anomalies au niveau de leurs vaisseaux sanguins.  En utilisant la pléthysmographie, une technique qui permet d’évaluer les variations de vasomotricité des vaisseaux sanguins, cette étude a montré que les consommateurs habituels de marijuana présenteraient un endothélium (tissu qui tapisse les vaisseau sanguin) endommagé.  Ceci constitue un important facteur de risque  des dysfonctions érectiles. Par ailleurs, il avait déjà été établi dans les années 80 que la fréquence des troubles érectiles était deux fois plus importante chez les consommateurs de cannabis que les non-consommateurs.

Les opaciés quant à eux entraînent une baisse généralisée de la libido et une impuissance en agissant sur la testostérone et la prolactine. Enfin L’ecstasy (ou MDMA) connue sous le nom de « pilule de l’amour » va stimuler le plaisir, les émotions, les sensations (sonores, visuelles, olfactives…) et l’excitation sexuelle par un effet sur les neurotransmetteurs dopaminergiques, noradrénalinergiques et sérotoninergiques. Cet effet, court dans le temps (4 à 6h), est régulièrement suivi d’une période transitoire dépressive (la « décente ») qui peut elle durer 24 à 48 heures, et entraîner des troubles de l’érection.

L’érection étant intimement liée à la santé cardio-vasculaire et neurologique, s’abstenir de consommer des drogues, de fumer et réduire sa consommation d’alcool revient à s’engager sur l’une des meilleures voies pour prévenir les troubles érectiles. Une vie sexuelle épanouie peut largement contribuer à remplacer les substances récréatives et addictives et contrairement à ces dernières, le sexe est synonyme de bonne santé !

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